Description
La mort est arrivée un beau matin, me coupant le souffle. J’en perd l’équilibre, je m’assois.
C’était un jour réel ou irréel, je ne sais plus, tout est confus, je souffre. J’écris sa vie à la flamme d’une bougie, le temps est long. Je m’évade sur un tapis, la pendule du salon remonte le temps des souvenirs.